Ca c'est fait ! Je n'ai pas fini de vous présenter les créateurs Néo-Zélandais dont je parlais il y a peu, mais j'ai un truc bien plus important à partager pour le moment.
Samedi dernier à Queenstown, la capitale des sports extrêmes, dans l'île sud de la Nouvelle-Zélande, j'ai réalisé un rêve vieux de pfff, environ 15 ans. J'ai sauté en parachute.
Et c'est bien moi sur la photo ci-dessus, survolant les nuages. Pour info, la vue de là-haut ressemblait à ça :
Samedi dernier à Queenstown, la capitale des sports extrêmes, dans l'île sud de la Nouvelle-Zélande, j'ai réalisé un rêve vieux de pfff, environ 15 ans. J'ai sauté en parachute.
Et c'est bien moi sur la photo ci-dessus, survolant les nuages. Pour info, la vue de là-haut ressemblait à ça :
Je ne sais pas si vous l'avez déjà fait, mais moi je n'arrive pas à trouver les mots pour exprimer ce que l'on ressent quand on saute d'un avion à 4000 mètres d'altitude. J'avais beau avoir toujours voulu le faire, je me suis rendue compte que je n'aurais jamais bien pu comprendre l'avalanche de sensations qui vous envahit. Je crois pouvoir dire sans m'avancer que ce n'est comparable à rien au monde, et presqu'une semaine après, il me suffit de regarder ma vidéo ou mes photos pour avoir un noeud dans l'estomac et me souvenir des trois secondes les plus terrifiantes de ma vie : le saut en lui-même. A côté de ça, la descente en free fall pendant 45 secondes (avant que le parachute ne soit déployé), c'est une balade dans le parc.
Les deux secondes avant de sauter sont aussi très éprouvantes: sanglée en quatre points différents à votre instructeur, vous êtes techniquement déjà dans les airs, sans toucher l'avion alors que lui est encore assis dedans !
Je ne vais pas vous la jouer dure à cuire : j'ai eu la peur de ma vie. Pas parce que j'avais du signer une décharge qui m'informait que même si mon parachute était plié correctement et même si le saut se déroulait parfaitement, la possibilité que je sois blessée ou tuée existait. Pas parce que j'avais peur que le parachute ne s'ouvre pas, ou que je n'avais pas confiance en mon instructeur, qui fait ça dix fois par jour, chaque jour de l'année (ou presque). Mais parce que sauter d'un avion comme ça, c'est défier toutes les lois de la nature, c'est accepter de lâcher prise totale, et c'est soumettre son corps et son coeur à des sensations tellement intenses, qu'on se demande comment on va ressortir à l'autre bout.
Mais je n'étais pas encore remise des mes émotions que j'étais déjà sûre d'une chose, à la prochaine occasion qui se présente, j'y retourne !
PS : vous pouvez cliquer sur les photos pour les agrandir.
PS2: la petite corde que vous voyez sur les photos est celle d'un tout mini parachute qui est déployé après le saut pour stabiliser.
Les deux secondes avant de sauter sont aussi très éprouvantes: sanglée en quatre points différents à votre instructeur, vous êtes techniquement déjà dans les airs, sans toucher l'avion alors que lui est encore assis dedans !
Je ne vais pas vous la jouer dure à cuire : j'ai eu la peur de ma vie. Pas parce que j'avais du signer une décharge qui m'informait que même si mon parachute était plié correctement et même si le saut se déroulait parfaitement, la possibilité que je sois blessée ou tuée existait. Pas parce que j'avais peur que le parachute ne s'ouvre pas, ou que je n'avais pas confiance en mon instructeur, qui fait ça dix fois par jour, chaque jour de l'année (ou presque). Mais parce que sauter d'un avion comme ça, c'est défier toutes les lois de la nature, c'est accepter de lâcher prise totale, et c'est soumettre son corps et son coeur à des sensations tellement intenses, qu'on se demande comment on va ressortir à l'autre bout.
Mais je n'étais pas encore remise des mes émotions que j'étais déjà sûre d'une chose, à la prochaine occasion qui se présente, j'y retourne !
PS : vous pouvez cliquer sur les photos pour les agrandir.
PS2: la petite corde que vous voyez sur les photos est celle d'un tout mini parachute qui est déployé après le saut pour stabiliser.