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Monday, 27 February 2012

And the Oscar goes to...

Gwinnie pour la robe la plus époustouflante que j'aie vue sur red carpet depuis un bon moment. J'étais sans voix quand je l'ai aperçue dans cette merveille par Tom Ford. 



La robe était tout aussi divine sans la cape. J'aime aussi la coiffure et les bijoux. J'ai toujours été fan de Gwyneth et pour moi c'était sans équivoque elle la grande gagnante du red carpet !


Mention spéciale aussi à Jessica Chastain, pour qui j'ai un véritable girl crush et que j'ai adorée dans The Help (La couleur des sentiments) et The Debt. Sa robe Alexander Mc Queen est somptueuse. 

La robe Marchesa de Sandra Bullock méritait aussi le coup d'oeil. 

A part ces trois-là, rien ne m'a vraiment tapé dans l'oeil côté red carpet. Pas de grosse prise de risque, presque pas de couleur, et pas grand-chose à se mettre sous la dent. 

Côté récompenses, j'ai été émue par Octavia Spencer et Meryl Streep ainsi que bien sûr par les multiples victoires de The Artist, superbe film qui mérite toutes les accolades qu'il a reçu de ce coté de l'Atlantique !

Je dois avouer que j'étais particulièrement enthousiasmée par les Oscars cette année. Ici, c'est un évènement et il y a des soirées Oscars un peu partout dans New York... L'occasion de se mettre sur son trente-et-un et d'aller voir cette cérémonie sur grand écran. C'est quand même mieux que de voir des rediffs de quelques passages le lendemain...

Et vous, quelles ont été vos robes/moments préférés des Oscars ? 

Wednesday, 9 December 2009

The Boys Are Back

[English version below]

Ce n'est pas très souvent que je me fends d'une note cinéma, malgré le fait que je vois en moyenne un à deux films par semaine. En effet, même si je me plais à réfléchir aux bons et mauvais côtés d'un film en sortant de la salle et à débattre de tout ça avec M.C. (ou avec moi-même quand je suis seule), je ne me trouve pas particulièrement bonne critique. Mais il y a des films qui ne peuvent vraiment pas rester sous silence, et selon moi, The Boys Are Back en fait partie.

The Boys Are Back

Il est bien rare qu'un film me surprenne agréablement. En général tout ou presque est dit dans les bandes annonces, ce qui m'irrite au possible (un peu de mystère svp !) et je m'attendais à un joli film bien agréable avec un de mes acteurs préférés, Clive Owen.

Le choc. Bon déjà, arrêtons-nous sur le moment blonde. Je n'ai compris qu'au bout de 20 minutes que le film se déroulait en Australie... Je me posais la question depuis le tout début mais c'est quand Clive monte en voiture et roule à gauche que j'ai été confuse. Vérification faite auprès de M.C. (il l'habitude de mes questions idiotes), ces paysages fabuleux se trouvent bien en Australie du Sud.
De très jolis paysages de carte postale donc, qui sont le vrai bonus du film et qui ajoutent à l'intensité et à l'émotion.
Emotion étant un mot faible dans ce cas, puisque j'étais en larmes du début à la fin du film, M.C. aussi d'ailleurs (ce qui veut dire beaucoup). L'histoire prend aux tripes dès le début et la souffrance de Clive prend vraiment à la gorge, c'est très puissant.

The Boys Are Back

L'histoire ? Un journaliste sportif anglais a quitté sa première femme et son fils pour suivre sa maîtresse (deuxième amour serait plus joli, mais appelons un chat un chat) australienne avec qui il a un deuxième fils. Celle-ci est atteinte de cancer et Clive se retrouve déchiré par le deuil à s'occuper de ses deux fils comme il peut.

Je m'attendais à une comédie dramatique sur l'air du père qui se retrouve seul à gérer sa famille (comme Ben Affleck dans Père et Fille) et finit par s'en sortir comme un chef et retrouve l'amour, the end, et je m'étais bien trompée.
C'est surtout l'histoire d'un père qui apprend à être père, à être seul, tout en revisitant les codes d'éducation et en essayant d'accepter la mort de l'amour de sa vie.


Les deux garçons ( Nicholas McAnulty - le petit - et George MacKay) sont absolument excellents, surtout le petit qui est d'une justesse époustouflante et nous fait découvrir ce que la mort signifie quand on a 6 ans.

En bref, à voir absolument !

It’s not very often that I blog about movies, even though I watch one to two movies a week on average. I don’t particularly find myself a critic, I don’t know the names of all the actors, directors and so forth but for The Boys Are Back, I really had to make an exception.

It is quite rare that I am pleasantly surprised by a movie. Usually all is said in the trailer, which is very irritating (what about a bit of mystery, eh?) and I was expecting a slightly cheesy but good movie, with one of my favourite actors, Clive Owen.

First, let‘s get the blonde moment out of the way. I only found out after 20 minutes into the movie that it was set in Australia. I was wondering from the start but when Clive gets in the car and drives on the left, I got really confused. I had to ask M.C. (he’s used to my idiotic questions) and he confirmed that these magnificent landscapes are indeed in South Australia.
Emotion is an understatement in this case, as I literally cried during the entire movie, as did M.C. (which is saying something). The story really punches you in the stomach and Clive’s suffering chokes you up, it is very powerful.

The story? An English journalist left his first wife and son to follow his lover to Australia, with whom he has another son. She soon gets diagnosed with cancer and Clive is left to deal with his grief while trying to raise two sons on his own.

I expected a light-hearted drama about a dad who finds himself having to manage his family on his own (a bit like Ben Affleck in Jersey Girl) and gets on brilliantly and even manages to find a new love in the process. I was very wrong.
It really is the story of a dad who is learning to be a dad, learning to be alone, while at the same time challenging stereotypes about parenting and trying to come to grips with the loss of the love of his life.

The two boys (Nicholas McAnulty – the little one - and George MacKay – the teen) are absolutely perfect, especially the youngest, who is so spot on at making the viewer look at death from a six-year-old’s perspective.

I could go on forever so much that I liked the movie and was moved by it, but in short, go see it, you won’t regret it!

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